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Danseuse professionnelle jusqu’en 1994, puis modèle pour les écoles d’arts plastiques à Paris.

 

A cette occasion, je peux enfin apprendre à dessiner. Je découvre aussi la sensualité du modelage, le premier essai me contamine comme un virus inguérissable. 

Encouragée par mon entourage, j’expose mes premières sculptures en 1999 dans Le Perche.

Chaque année les expositions et salons s’enchaînent en France jusqu’en 2003 ou je choisi de m’exposer en Italie, mon lieu de résidence à l’époque.

 

Après Roccamontepiano, Popoli, Pescara, Roccaraso et une commande pour la création du nouveau Musée des Paveurs à Alfedena, je rentre définitivement à Paris fin 2008.

Ma sculpture parle surtout du corps humain, de sa souplesse, de toute sa beauté dans l’harmonie du mouvement et sa sensualité au quotidien, sans acrobatie.

 

Comme dans la danse, j’utilise le corps comme moyen d’expression émotionnelle et esthétique.

 

Bien que silencieux et immobiles, mes personnages racontent des histoires, évoquent un monde à eux où ils entraînent le spectateur.

Les objets d’art sont un moyen d’être encore plus proche du public, en lui permettant d’intégrer mes œuvres dans son intimité.

Pour travailler, ma préférence va, sans nul doute, à l’argile surtout chamottée. J’aime aussi le papier mâché pour la grande liberté qu’il me donne et le côté recyclage qui me plaît. Le plâtre est agréable mais trop fragile.

 

Je n’ai pas de préméditation intellectuelle. Tout naît d’une émotion, une image, un parfum, une musique, des passants dans la rue…

Mon seul espoir est de transmettre un peu de joie et d’humour dans ce monde de brut, un peu de paix et sérénité dans la course dangereuse du monde.

Portrait Nouchka.jpg
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